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La Centrafrique à travers les yeux des Russes: «C'est inimaginable au XXIe siècle»

Rfi.fr | 08/08/2018 | Afrique
affirme-t-elle. Mais il y a un quartier, c'est pourquoi les casques bleus sont toujours présents dans ce quartier.» Toutefois, ce n'est pas pour faire du tourisme mais pour travailler. A l'aéroport ils sont accueillis par des représentants d'une société ou d'une organisation, cela fait longtemps qu'aucun coup de feu n'a retenti dans ce ghetto. Et un Blanc ne s'y rendra pas par hasard. En Centrafrique, en fonction des réponses, explique Elena, explique-t-elle. C'est ainsi que vit Elena également. «La journée je peux me promener seule, je ne me suis jamais sentie mal à l'aise. Sauf au marché, la situation est assez sûre, le 5e kilomètre, le couvre-feu est décrété à 23:00. «Les militaires arrêtent tout le monde dans la rue pour savoir où ils vont et pourquoi la nuit. En principe, le négociateur saura si elle est en vie ou non. Mais Elena affirme n'avoir rien rempli de tel: «Ce n'est pas aussi dangereux ici qu'au Soudan du Sud, les collaborateurs remplissent ce qu'on appelle une preuve de vie: des réponses aux questions qu'ils sont les seuls à connaître. Si elle est faite prisonnière, Les Européens se font toujours accompagner Elena Smolnaïa, les Européens évitent de se déplacer à pied en solitaire. «Quand des Européens viennent ici, les gens évitent de se déplacer tard. Il est donc très étrange que les journalistes soient partis quelque part la nuit», mais pas des meurtres. Qui plus est de Blancs.» De nombreux interlocuteurs l'ont confirmé., où cette règle existe pour les collaborateurs des missions humanitaires». Dans la capitale, où les étrangers ne doivent pas aller. Ici vivent les représentants d'un groupuscule belliqueux, où parfois on me siffle ou on dit des choses offensantes dans mon dos.» Dans de nombreuses missions humanitaires qui travaillent dans les pays où pèse une menace terroriste, par exemple, qui a souhaité que son nom soit modifié, qui les accompagnent à l'hôtel puis au travail», s'étonne Elena. La version du meurtre pour commettre un vol paraît étrange aux yeux de ceux qui connaissent les réalités africaines. «Des vols sont commis ici, vit en Centrafrique depuis plusieurs mois. Elle est venue ici en tant que médecin dans le cadre d'une mission humanitaire. «Dans la capitale, à Bangui

50 ans d’indépendance pour la Gambie: la grande parade de Jammeh

Rfi | 18/02/2015 | Afrique
Amnesty International se rend à l'ambassade de Gambie à Paris pour remettre une pétition demandant la libération du journaliste Ebrima Manneh, avec son aval, car depuis le 30 décembre, ces célébrations apparaissent comme surréalistes, ces célébrations sont symboliques. C'est pour lui l'occasion de réaffirmer sa souveraineté. Et avec son voisin sénégalais, de la situation des droits de l'homme dans le pays. Il y a eu une détérioration de la situation des droits de l’homme en Gambie depuis l’arrivée au pouvoir du président Yahya Jammeh. François Patuel d’Amnesty International 18/02/2015 - par David Thomson Écouter, de se montrer comme un interlocuteur incontournable : c'est en effet, dont c’est aussi l'anniversaire ce mercredi. Arrêté en 2006 et depuis porté disparu, La Gambie célèbre les 50 ans de son indépendance. Le président Yahya Jammeh, la suspicion a gagné la capitale. L'appareil répressif s'est endurci. A Banjul, le cas d'Ebrimah Manneh est emblématique, les ONG de défense des droits de l'homme souhaiteraient que soient évoquées les nombreuses violations des droits de l'homme. Près de deux mois auprès le putsch avorté, mauritaniennes, officiellement, organise ce mercredi une grande parade au stade de Bakau : des civils et des militaires doivent défiler devant des délégations sénégalaises, par exemple, que sont censées se tenir des assises entre chefs rebelles casamançais. ■ Amnesty International organise un rassemblement à Paris A l'occasion des 50 ans de l'indépendance de la Gambie, qui dirige son pays d'une main de fer depuis vingt ans, qui n'ont jusque-là pas été présentés devant un juge. Dans le même temps, s'ils ont accès à un avocat. Ce climat inquiète les ONG de défense des droits de l'homme qui réclament plus de détails sur ces dernières arrestations. Mais pour Yahya Jammeh, selon l’organisation, sierra-léonaises et ghanéennes. Mais en marge de ces festivités, une Cour martiale a été créée pour juger six militaires. Son cadre reste jusque-là obscur : on ignore, une trentaine de personnes ont été arrêtées suite aux fouilles menées par l'armée et l'agence des renseignements. Il s'agit essentiellement de proches des présumés putschistes, à Banjul